Entre1793 et 1796, des centaines de milliers de VendĂ©ens furent massacrĂ©s par les armĂ©es de la RĂ©publique lors d'affrontements entre des paysans insurgĂ©s et le pouvoir rĂ©volutionnaire dirigĂ© France 3 17 Avril 2013 Le Conseil SupĂ©rieur d el'Audiovisuel rned pĂ»blic ce 17 avril avoir Ă©tĂ© saisi par Jean-Luc MĂ©lenchon et Alexis CorbiĂšre, respectivement co-prĂ©sident et secrĂ©taire national du Parti de Gauche, ainsi que par un tĂ©lĂ©spectateur, Ă  la suite de la diffusion du documentaire Robespierre, bourreau de la VendĂ©e ? » sur France 3 le 23 janvier 2013 dans l’émission L’Ombre d’un doute. Ce programme, lit-on sur le site du CSA,, "qui avait pour vocation de s’interroger sur le rĂŽle de Robespierre pendant la premiĂšre guerre de VendĂ©e 1793-1795, calomniait, aux yeux des plaignants, la RĂ©volution française. Le Conseil a considĂ©rĂ© qu’en sollicitant la contribution d’intervenants ayant des interprĂ©tations opposĂ©es Ă  ce sujet, la chaĂźne avait contribuĂ© Ă  ce que la diversitĂ© des points de vue soit assurĂ©e, conformĂ©ment Ă  l’article 35 du cahier des missions et des charges de France TĂ©lĂ©visions . Il a rĂ©pondu en ce sens aux plaignants". Rejoignez-nous sur ce compte Twitter. Retour Ă  la page d'accueil. Liste des 40 derniers articles publiĂ©s sur le blog. Partager cet article Pour ĂȘtre informĂ© des derniers articles, inscrivez vous À propos Actu des mĂ©dias par 2 passionnĂ©s, amateurs. Et tweets perso. Voir le profil de sur le portail Overblog
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UndĂ©tail en est restĂ© cĂ©lĂšbre : cette canne, longue comme celle d’un tambour major, dont la pomme enrichie de pierreries Ă©tait creuse et contenait des cheveux de femmes [3]. Il a des chevaux, des laquais, une livrĂ©e splendide rehaussĂ©e de galons et de boutons d’or sur lesquels brillaient les armes des Balzac d’Entragues. « Il faut travailler pour ces gredins de chevaux, que

Comme je vous l'ai dĂ©jĂ  dit prĂ©cĂ©demment, nous adorons, Flo et moi, l'Ă©mission "l'ombre d'un doute". Nous avons choisi de regarder celle qui pose la question de savoir si Robespierre Ă©tait un bourreau de la guerre de VendĂ©e. Tout au long du visionnage du reportage, nous avons Ă©tĂ© intĂ©ressĂ©s, surpris mais aussi effarĂ©s de dĂ©couvrir comment la rĂ©volution avait basculĂ© dans l'horreur cette annĂ©e 1793. Le sujet est complexe et les dates nombreuses, mais je vais tenter de vous faire un rĂ©sumĂ© clair et de vous intĂ©resser Ă  ce sujet passionnant...La question qui se pose aujourd'hui est celle de savoir si l'on peut appeler cette guerre gĂ©nocide. Certains l'affirment alors que d'autres se heurtent au mot lui mĂȘme parlant davantage d'extermination. Lorsque l'on se renseigne un peu sur le sujet, on peut effectivement constater qu'une extermination de masse a eu lieu. Certains Ă©vĂ©nements vous rappelleront les heures terribles de la seconde guerre mondiale. Neuf fosses ont Ă©tĂ© rĂ©cemment dĂ©couvertes avec Ă  l’intĂ©rieur une cinquantaine de corps. Les crĂąnes portaient des traces de coup de hache, ce qui montre la violence des faits. Replaçons nous dans l'histoire....Au lendemain de l’exĂ©cution du roi Louis XVI, sur l'ancienne place de la concorde, dite place de la rĂ©volution, les esprits commencent Ă  s'Ă©chauffer. La France est en guerre avec une grande partie des pays voisins. En 1790, il est dit que les prĂȘtres doivent prĂ©ter serment Ă  la constitution. Ceux qui entraĂźnent peu Ă  peu la rĂ©volte des paysans. Les prĂȘtres rĂ©fractaires se trouvent alors en 1792, condamnĂ©s Ă  l'exil. Dans le mĂȘme temps, la nouvelle politique de l'Ă©tat demande instamment aux français de participer Ă  l'effort de guerre. Les rĂ©voltes paysannes s'accroissent et pourtant favorables au dĂ©part aux actes rĂ©volutionnaires, les paysans de la VendĂ©e vont peu Ă  peu se raidir. Le 13 mars 1793, Jacques Cathelineau, un colporteur boulanger, ĂągĂ© de 35 ans, et pĂšre de cinq enfants se retrouve Ă  la tĂȘte du mouvement pour le retour des prĂȘtres catholiques rĂ©fractaires. Il est le premier chef des vendĂ©ens insurgĂ©s. Jean Nicolas Stofflet, un lorrain, ancien soldat, intelligent et bon militaire se joint Ă  Cathelineau. Jacques Cathelineau Ces deux hommes vont conduire 15 000 insurgĂ©s Ă  Cholet, ville protĂ©gĂ©e par 1000 gardes nationaux. Ils rentrent alors dans un cycle de guerre. Ils prendront peu Ă  peu les petites villes qui les entourent. Mais Ă  Machecoul, les gardes, appelĂ©s les bleus, tirent sur la foule. Les paysans se dĂ©chaĂźnent alors, fous de rage., ils brĂ»lent des archives, torturent Ă  mort le curĂ© de la constitution et s'en prendront dans les jours qui suivent Ă  tous les notables de la rĂ©gion. La nouvelle de cet Ă©vĂ©nement va se rependre dans tout le pays. On dĂ©nombrera plus de 160 personnes tuĂ©s ces jours ci. En mars 1793, la convention est aux mains des girondins, majoritaires en province mais en concurrence avec les montagnards menĂ©s par Robespierre, beaucoup moins modĂ©rĂ©...Une tension extrĂȘme naĂźt. MĂȘme Ă  l'Ă©tranger, on entend dire qu'il existe un endroit en France trĂšs dangereux oĂč l'on tue! Le 19 mars, une semaine prĂšs le dĂ©but du soulĂšvement, l'assemblĂ©e adopte un dĂ©cret instituant la peine capitale Ă  tous ceux qui seraient pris les armes Ă  la main ou en possession d'une cocarde blanche. Le mĂȘme jour, 3000 hommes sont envoyĂ©s au sud de Nantes pour anĂ©antir l'insurrection. La dĂ©faite est complĂšte pour les bleus Ă  l'Ă©tonnement de tous. Le 16 avril 1793, Henri de la Rochejaquelein , agĂ© de 20 ans, est demandĂ© Ă  l'aide par les paysans. Ils le veulent pour commandant. Il dira ces mots "Si j'avance, suivez moi, si je recule, tuez moi et si je meurs, vengez moi!" D'autres suivront, D'ElbĂ©e, Bonchamps, puis Charette de la Contrie, qui deviendra le plus connu des gĂ©nĂ©raux. Les villes tombent les unes aprĂšs les autres, Fontenay, Saumur, Angers... Le 29 juin, aux portes de Nantes, les chefs n'arrivent pas Ă  s'entendre et Cathelineau est blessĂ© mortellement. Pendant ce temps, les montagnards prennent le pouvoir. Robespierre dĂ©cide de prendre les choses en main et de frapper sur la VendĂ©e. BarĂšre, homme de Robespierre, prendra la parole dans ce sens. Ils voteront un dĂ©cret loi fixant le cadre des interventions Ă  prendre sur les vendĂ©ens. Il dit en partie que les forĂȘts seront abattues, les rĂ©coltes coupĂ©es, les bestiaux confisquĂ©s et que les femmes, enfants et vieillards seront conduits Ă  "l'intĂšrieur". Carnot ler ministre de la guerre envoie mĂȘme l'armĂ©e de Mayence avec 16 000 soldats venant renforcer l'armĂ©e sur place. Un nouveau dĂ©cret apparaĂźt le 1 octobre allant encore plus loin Les armĂ©es de l'ouest doivent Exterminer tous les brigands de VendĂ©e! C'est lĂ , que les bleus ne feront plus de distinction entre les gens, qu'ils soient hommes, femmes, enfants ou vieillards....L'armĂ©e a Ă  prĂ©sent les plein pouvoirs. A la mi octobre, la bataille de Cholet va faire rage. LĂ , 40 000 hommes sont face Ă  25 000 bleus. Jean Nicolas Stofflet Lescure, Bonchamps et d'ElbĂ©e sont blessĂ©s. Les paysans, paniquĂ©s sans leur chef, fuient vers la Loire. Cinq milles soldats bleus sont fait prisonniers. Un bon nombre veulent les fusiller mais Bonchamps s'y oppose fortement et dĂ©cide de les libĂ©rer. Cette affaire sera Ă©touffĂ©e. On demandera mĂȘme Ă  ces soldats de mentir et de nier cette libĂ©ration. Bonchamps mourra peu aprĂšs cet Ă©pisode. Le lendemain, l'armĂ©e vendĂ©enne, plus de 60 000 personnes marchent vers Grandville avec Henri de la Rochejaquelein . Ils arrivent Ă  Grandville aprĂšs 400 km, aidĂ©s par les chouans au nombre de 30 000. Le siĂšge durera 28 heures. Ils se rĂ©fugiĂšrent surtout dans la rue des juifs et c'est lĂ  que les bleus mirent le feu aux toitures de cette rue. Les vendĂ©ens fuient et aspirent Ă  rentrer enfin chez eux. Ce chemin de retour est appelĂ© la virĂ©e de Galerne. Ils sont alors harcelĂ©s par trois armĂ©es de bleus et sont dĂ©cimĂ©s par le froid, la dysenterie et la famine. Ils sont 40 000 Ă  arriver au Mans, se jetant sur la nourriture, alors eux mĂȘme affamĂ©s...L'ordre est Ă  nouveau donnĂ© d'exterminer cette race impure... Le massacre commence dans la nuit du 12 au 13 dĂ©cembre. Plus de 15 000 vendĂ©ens sont tuĂ©s, Ă©gorgĂ©s, sabrĂ©s. Les femmes, et enfants sont Ă©galement tuĂ©s sans distinction. AprĂšs 36 heures de boucherie, les bleus se retirent. Quelques milliers de survivants arrivent Ă  s'Ă©chapper vers la Loire avec Stofflet et Henri de La Rochejaquelein, se coupant de leur armĂ©e massacrĂ©e Ă  son tour. La terreur s'est installĂ©e partout dans la rĂ©gion. Sanson, le bourreau de Paris a beaucoup de travail...La guillotine ne cesse de fonctionner. Jean Baptiste Carrier s'installe comme Lequinio, fait arrĂȘter des aristocrates, convoitant leurs richesses. Il craint les Ă©pidĂ©mies et dĂ©cide de sortir tous les prisonniers vendĂ©ens afin de les concentrer dans des anciennes usines Ă  cafĂ©. LĂ , on leur donnera 240 gr de riz par jour, sans pain, sans lĂ©gumes. Ce rĂ©gime aidera Ă  leur extermination. Ceux qui arrivent Ă  survivre seront fusillĂ©s. Carrier n'arrivant pas Ă  enterrer tous les corps, on raconte que les chiens les mangeaient. Carrier ne s'arrĂȘtera pas lĂ . Un soir, il regroupe 80 prĂȘtres rĂ©fractaires et dĂ©cident de les noyer dans la Loire. Par la suite, des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants subiront le mĂȘme sort...Lui et ses hommes ne se gĂȘneront pas pour dĂ©trousser ses pauvres gens. On dit aussi qu'en Ă©change de faveurs sexuelles, il fera libĂ©rer des jolies filles de prison, pour ensuite les noyer. Les habitants de Nantes n'osent plus sortir de chez eux. Entre novembre 1793 et fĂ©vrier 1794, plus de 6000 personnes auraient pĂ©ri par noyade sous les ordres de Carrier durant son passage Ă  Nantes. Robespierre va rappeler Carrier sur Paris, sans rien lui reprocher. Pire, il sera nommĂ© secrĂ©taire de la convention. La VendĂ©e ne constitue plus de menace, mais pourtant Robespierre continue de S'acharner. Thurot est choisi. Il doit mettre en oeuvre un nouveau plan en s'appuyant sur l'armĂ©e. Il Ă©crira au comitĂ© afin de partager son idĂ©e de ce nouveau plan en utilisant l'armĂ©e mobile. On lui demande de tout incendier et de passer par les armes tout vendĂ©en, genres et Ăąges confondus. Il demandera une confirmation Ă©crite de cet ordre. 60 000 hommes mobiles vont se rependre dans toutes la rĂ©gion. Ils chassent, tuent les habitants et le bĂ©tail... François Athanase de Charette de la Contrie L'horreur continue...Il sera demandĂ© aux soldats de ne pas rapporter leurs faits et de les garder sous silence. Thurot va alors envoyer un premier bilan expliquant que de trĂšs nombreux vendĂ©ens ont Ă©tĂ© tuĂ©s. Le 8 fĂ©vrier, il recevra une rĂ©ponse de Carnot, ministre de la guerre, lui disant de continuer Ă  exterminer tous les brigands jusqu'au dernier. Le 28 fĂ©vrier 1794, les colonnes entrent sur le territoire des Luc sur Boulogne et massacrent le quart de la population. Les blessĂ©s sont achevĂ©s Ă  coup de cross et de baĂŻonnette. Parmi eux, plus de 110 enfants de moins de 8 ans. Pendant trois semaines, les villages aux alentours sont dĂ©cimĂ©s. Les armĂ©es s'attaqueront mĂȘme, avec l'aide d'une personne anonyme Ă  un hĂŽpital, perpĂ©trant un vĂ©ritable massacre. En tout, 2500 personnes le 25 mars vont mourir. Lequinio montera Ă  Paris, racontant les horreurs vues de ses yeux. Robespierre enterrera ce rapport. Robespierre a fait le mĂ©nage autour de lui, et a fait guillotiner tous ses opposants. Il va trop loin. Le lendemain, Il est arrĂȘtĂ©, recevant dans la confusion une balle dans la mĂąchoire. Il sera condamnĂ© et guillotinĂ© avec d'autres membres du comitĂ©. Carrier est jugĂ© et condamnĂ© Ă  mort. Thurot, lui, sera acquittĂ©. La mort de Robespierre mettre fin Ă  cette extermination vendĂ©enne. En fĂ©vrier 1795, les vendĂ©ens et les rĂ©publicains entrent en nĂ©gociation. Les vendĂ©ens doivent reconnaĂźtre la rĂ©publique, tandis que les rĂ©publicains s'engagent Ă  laisser libre le culte des prĂȘtres rĂ©fractaires et Ă  ne pas lever d'impĂŽts pendant 10 ans. La guerre est pourtant relancĂ©e, suite Ă  l'arrivĂ©e Ă  Quiberon d'une troupe d'immigrĂ©s, pendant un an jusqu'Ă  l'arrestation des deux derniers gĂ©nĂ©raux de VendĂ©e. Stofflet sera fusillĂ© Ă  Angers tandis que Charette sera exĂ©cutĂ© en place 1796, devant 12 gĂ©nĂ©raux de la rĂ©publique et 5000 soldats sur la place Viarme, lĂ  oĂč Cathelineau aura perdu la vie. C'est enfin la fin de la guerre. Plus de 170 000 personnes auront Ă©tĂ© noyĂ©s, fusillĂ©s et massacrĂ©s. Il s'agit d'un vĂ©ritable crime contre l'humanitĂ©... Les deux grands ont rempli beaucoup de pages sur leurs cahiers, mais que cette leçon Ă©tait intĂ©ressante...! Robespierre...
Lombre d'un doute: confessions d'un universaliste en cours de dĂ©colonisation En 2011, ce fut l’effet MĂ©lenchon et je me suis pris de passion pour la RĂ©volution française et Robespierre CommentairesL'ombre d'un doute - Robespierre, bourreau de la VendĂ©e Une phrase du dernier intervenant dĂ©gage la rĂ©publique de toute responsabilitĂ© l'imputant, en la dĂ©solidarisant, Ă  la terreur... le "pas d'amalgame" donne le point final du film, dommage ! Il aurait fallu laisser la conclusion Ă  M. Reynald Secher, mais cela nĂ©cessitait alors un VRAI courage. 9 nov 2017 1332 BELIN Il vaut mieux prĂ©ciser "Dominique Lambert de La Douasnerie", pour ne pas le confondre avec le "Dominique Lambert" physicien de l'universitĂ© de Namur, catholique progressiste, darwinien affirmĂ© qui ne veut pas que l'on concilie science et foi, et qui a Ă©crit "Darwin est une chance pour le thĂ©ologien et le philosophe contemporain". 9 nov 2017 1412 ExupĂ©ry Passionnant ! Mais je regrette que n'aient pas Ă©tĂ© rappelĂ©es, entre autres monstruositĂ©s, les tanneries de peaux et la fabrication de savons Ă  partir de la graisse de cadavre des vendĂ©ens. 9 nov 2017 1414 Pierre Plusieurs remarques 1° Les prĂȘtres rĂ©fractaires ne sont pas Ă  proprement parler mis hors la loi dĂšs la crise du serment de novembre 1790-janvier 1791. La rĂ©pression se met progressivement en place dans les derniers mois de la monarchie, notamment sous l'impulsion des administrations dĂ©partementales. 2° En septembre 1792, ce ne sont pas 2000 prĂȘtres, mais 20 voire 30000 voir les chiffres de Donald Greer qui sortent de France au titre de la loi de dĂ©portation du 26 aoĂ»t 1792. Il ne faut pas confondre la dĂ©portation hors de France sorte d'Ă©migration forcĂ©e et la dĂ©portation en Guyane dont Ă©taient passibles les prĂȘtres insermentĂ©s ĂągĂ©s de moins de soixante ans. 3° Le problĂšme de la responsabilitĂ© personnelle des uns ou des autres est complexe. Je suis bien loin d'approuver les travaux ouvertement apologĂ©tiques auxquels se sont adonnĂ©s les historiens de la sociĂ©tĂ© d'Ă©tudes robespierristes d'Albert Mathiez Ă  Pierre Serna et Guillaume Mazeau en passant par Albert Soboul, Michel Vovelle et Jean-ClĂ©ment Martin et toutes les institutions l'IHRF de Paris 1 et revues les AHRF notamment qui en dĂ©pendent et assurent Ă  leurs mauvaises idĂ©es le monopole de la scientificitĂ©, mais il est peut-ĂȘtre contre-productif d'insister aussi exclusivement sur Robespierre, qui est loin d'ĂȘtre l'individu le plus criminel de la Convention mĂȘme s'il est bien sĂ»r Ă©galement trĂšs loin d'ĂȘtre recommandable. 9 nov 2017 1456 Peregrinus Pierre Si je vous lis bien, les VendĂ©ens ont subi les mĂȘmes exactions et agressions physiques que les dĂ©portĂ©s dans les camps nazis... 9 nov 2017 1530 Irishman Irishman, comme dans les camps nazi mais aussi et surtout dans les goulags que les sinistres nazis avec visitĂ©s avant la guerre et avaient dĂ©calquĂ© sur Staline, mais ça personne n'en parle ça blesserait MĂ©lancon et sa clique 9 nov 2017 1730 gaudete Irisman Dans certains cas, ce fut pire que dans les camps nazis. Dans ceux-ci, d'innombrables cadavres de victimes innocentes furent brĂ»lĂ©s. Par contre, en VendĂ©e des vivants furent jetĂ©s dans des fours Ă  pain prĂ©alablement chauffĂ©s tempĂ©rature ~300°. Le 31 janvier 1794, l'officier de police Gannet accuse le Gl Amey de laisser ses soldats tuer des civils en les jetant dans des fours "Amey fait allumer des fours et lorsqu'ils sont bien chauffĂ©s, il y jette les femmes et les enfants. Nous lui avons fait des reprĂ©sentations ; il nous a rĂ©pondu que c'Ă©tait ainsi que la RĂ©publique voulait faire cuire son pain. D'abord on a condamnĂ© Ă  ce genre de mort les femmes brigandes et nous n'avons trop rien dit ; mais aujourd'hui les cris de ces misĂ©rables ont tant diverti les soldats et Turreau qu'ils ont voulu continuer ces plaisirs. Les femelles de royalistes, manquant, ils s'adressent aux Ă©pouses des vrais patriotes. DĂ©jĂ , Ă  notre connaissance, vingt-trois ont subi cet horrible supplice et elles n'Ă©taient coupables que d'adorer la nation. La veuve Pacaud, dont le mari a Ă©tĂ© tuĂ© Ă  Chatillon par les Brigands lors de la derniĂšre bataille, s'est vue, avec ses quatre petits enfants jetĂ©e dans un four. Nous avons voulu interposer notre autoritĂ©, les soldats nous ont menacĂ©s du mĂȘme sort..." RapportĂ© par J. Rousseau in "Charette, Chevalier de lĂ©gende" Beauchesne 1963 Les gĂ©nĂ©raux Amey et Turreau ne furent pas les seuls criminels, Ă  Clisson les hommes du Gl. Joseph Crouzat brĂ»lĂšrent ainsi 150 femmes en une seule nuit... et rĂ©cupĂ©rĂšrent la graisse humaine. Mais on ne parle que des bĂ»chers de l'Inquisition ! 9 nov 2017 1839 ExupĂ©ry irishman il faudrait que vous vous documentiez un peu sur les guerres de VendĂ©e. Le nazisme a des racines profondes au sein de la rĂ©volution française comme le communisme, deux faces d'une mĂȘme piĂšce. 9 nov 2017 1950 montabor Robespierre est responsable bien sĂ»r mais son ombre sinistre permet Ă  d'autres, comme Carnot, de ne pas ĂȘtre traĂźne devant le tribunal de l'histoire. 9 nov 2017 1959 Stephe Quand j'entends cent et quelques milles morts, je dirais certainement plus, dans mon arbre de famille j'en compte 3 disparus qui n'ont jamais Ă©tĂ© retrouvĂ©s, 8 exĂ©cutĂ©s dans leur ferme, vieillard, femmes, enfants et j'en dĂ©couvre encore ! Cette satanĂ©e rĂ©publique est maudite, qu'elle crĂšve. 9 nov 2017 2145 AliĂ©nor La fabrique de pantalons de cheval faits de peau humaine tannĂ©e Ă©tait installĂ©e aux Ponts-de-CĂ©. Pour fabriquer ces pantalons, il valait mieux utiliser la peau des hommes que celle des femmes qui Ă©tait moins solide Ă  l'usage. Un gĂ©nĂ©ral bleu dont j'ai oubliĂ© le nom se pavanait dans un tel pantalon. Il existe toujours des livres reliĂ©s en cuir humain. On vendit de l'huile d'origine humaine Ă  Nantes, etc. Secher a raison et Babeuf aussi, il s'agit bien d'un gĂ©nocide car il fut lĂ©gal, ordonnĂ© par une loi. Ceux parmi ces historiens qui refusent mordicus de concĂ©der ce gĂ©nocide rĂ©publicain sont des hypocrites. 10 nov 2017 0109 San Juan En lisant "le communisme" de Bernard Anthony, j'ai fait le parallĂšle avec la rĂ©volution dite française. Disons clairement qu'il s'agit d'une rĂ©volution de bobos communistes qui par un coup d'Ă©tat, ont imposĂ© leurs idĂ©es funestes Ă  tout le pays, voire toute l'Europe. Les Marx, LĂ©nine, Trotski, Staline et autres sataniques ont puisĂ© sur cette pseudo rĂ©volution. Faire un homme objet nouveau avec toutes les ""valeurs"" rĂ©publicaines. Dans les 100 millions de morts du systĂšme communiste, il convient d'y inclure tous les crimes commis par les rĂ©volutionnaires. 10 nov 2017 0109 P2MD TrĂšs souvent, nous ne parlons que de la VendĂ©e et de la Bretagne, n’oublions pas qu’il y a eu d’autre rĂ©gion et province qui ont eu Ă  subir des reprĂ©sailles ! Lyon et ses alentours ont payer un lourd tribut au point que la ville de Lyon a changĂ© de nom pendant quelques annĂ©es, le temps que la situation revienne Ă  peut prĂšs ordinaire. nous ne sommes pas originaire de Lyon 10 nov 2017 0627 Maurice San Juan et irishman , pour info , il y avait trois centres de traitement des peaux humaines Ă  cette Ă©poque Étampes et Meaux en rĂ©gion parisienne , puis celui que vous avez citĂ© , cher San Juan . Toujours pas la faute de votre rĂ©publique judeo-maçonnique contre la France hellĂ©no-chretienne , cher Irishman ? 10 nov 2017 0858 Le Forez J'ai dans mes archives le temoignage d'un ancĂȘtre quelques jours avant son execution et qui s'etonne de sa situation alors qu'il avait bien servi le gouvernement revolutionnaire. 10 nov 2017 0948 Papon Le Forez, ok. 10 nov 2017 1033 San Juan Sur quelle chaĂźne est passĂ©e cette Ă©mission, et quand? 10 nov 2017 1441 Daniel Chaudron Daniel Chaudron, C'est une Ă©mission diffusĂ©e sur la chaĂźne "numĂ©ro 23" de la TNT qui se nomme "l'ombre d'un doute" animĂ©e par Franck Ferrand. Celle-ci sur la VendĂ©e a Ă©tĂ© diffusĂ©e plusieurs fois il y a dĂ©jĂ  quelques mois. 11 nov 2017 1033 AliĂ©nor
Parrapport Ă  Robespierre, Prieur est sans doute un personnage secondaire. Cependant, si le rejet de la thĂ©orie de l’histoire faite par les grands hommes est en gĂ©nĂ©ral salutaire, cela est — si possible — encore plus vrai lorsqu’il s’agit des rĂ©volutions et de la RĂ©volution française en particulier, qui a Ă©tĂ© faite par des masses anonymes et des figures secondaires autant
RTL on refait le monde’ Ivan Rioufol le 8/03/2012 des Oradour-sur-Glane», il y en a eu 2 ou 3 lĂ -bas La RĂ©publique aussi, a avalisĂ© un gĂ©nocide _____________________________________ L’Ombre d’un doute du 07/03/12 “Robespierre, bourreau de la VendĂ©e ?” Lombre d'un doute Entre 1793 et 1796, la VendĂ©e fut le théùtre d'affrontements d'une rare violence entre paysans et aristocrates insurgĂ©s et le pouvoir rĂ©volutionnaire, en particulier lors
Flash News Pas de vidĂ©os ! Mettez des vidĂ©os dans votre "Watch Later" en cliquant sur l’icĂŽne au coin en bas Ă  droite des vignettes de vidĂ©os. View all videos Don't miss new videos Sign in to see updates from your favourite channels Sign In POSTER UNE VIDEO Accueil EveillĂ© L’ombre d’un doute – Robespierre, bourreau de la VendĂ©e L’ombre d’un doute – Robespierre, bourreau de la VendĂ©e Loading advertisement... Up next Robespierre – La fabrication d’un monstre Cancel Nous utilisons trĂšs peu de cookies. Ils servent le bon fonctionnement du site ou recueillent des statistiques de visites. En cliquant sur “J'accepte”, vous acceptez ces cookies. Vous pouvez choisir de dĂ©sactiver certains cookies non nĂ©cessaires dans RĂ©glages Cookies.
CommuniquĂ©de la SociĂ©tĂ© des Ă©tudes robespierristes du 22 mars 2012 : Par le communiquĂ© suivant, la SociĂ©tĂ© des Ă©tudes robespierristes condamne l’entreprise de dĂ©sinformation historique menĂ©e dans le cadre de l’émission « L’ombre d’un doute », diffusĂ©e le 7 mars dernier sur France 3 et titrĂ©e « Robespierre : bourreau de
Ce blog est personnel, la rĂ©daction n’est pas Ă  l’origine de ses contenus. Extrait L'Expression De quoi parle L'ombre d'un doute»?Nadia Agsous L'ombre d'un doute» est mon premier roman. Il parle de la mĂ©moire collective historique, de la transmission et de la rĂ©ception de cette mĂ©moire. Il parle Ă©galement de renouveau. Le roman pose deux questions fondamentales que lĂ©guons-nous Ă  nos enfants? Et que font nos enfants de ce que nous leur lĂ©guons?Le roman raconte l'histoire d'une mĂ©moire collective historique sclĂ©rosĂ©e, figĂ©e, ankylosĂ©e. C'est l'histoire de Bent'Joy Fille de joie, Ville enfermĂ©e dans un passĂ© vieux de plusieurs siĂšcles, Ă©poque qui correspond Ă  la gouvernance de la ville par Sidi Akadoum Seigneur Visage, personnage sacralisĂ© Ă  outrance et Ă©levĂ© au rang de prophĂšte par les habitants de Bent'Joy. L'ombre d'un doute» est aussi le roman de la remise en cause de cette mĂ©moire collective historique sclĂ©rosĂ©e et largement dĂ©passĂ©e. C'est l'histoire d'une tentative de dĂ©sacralisation et de dĂ©fatalisation» de cette mĂ©moire imposĂ©e aux Bent'Joyiens qui s'enlisent dans les sables mouvants du l'ombre d'un doute Article "AlgĂ©rie Cultures""Le texte est un long poĂšme en prose oĂč les mots n’alimentent pas forcĂ©ment le dire. Il est fait d’allusions, de grandes subtilitĂ©s et de rĂ©vĂ©lations. Puisant dans la tradition orale, dans les contes traditionnels du terroir mais aussi parfois de la GrĂšce et de la MĂ©diterranĂ©e, il dresse une sorte d’inventaire de la mĂ©moire collective oĂč les images se contrastent et se mĂȘlent..." Lounes Ghezali, 8 fĂ©vrier 2021. Les articles les plus lus Journal — Les affaires financiĂšres de La France insoumise Journal — Violences sexuelles les syndicats aussi RecommandĂ©s par nos abonnĂ©es . 329 334 397 252 321 339 339 495

l ombre d un doute robespierre