Nouvellevidéo ! Désolé pour l'énorme retard que j'ai pris mais j'ai été très occupée ! =sJ'espère que la traduction vous plaira ! J'ai commencé à traduire "
Épisodes Saisons News et dossiers Casting Trailers Captain Planet au rabais, crises d'adolescence meurtrières et partouzes apocalyptiques sont au menu du nouvel épisode de Rick et Morty. Cette saison 5 débute très bien. Après une quatrième salve d'épisodes qui a peiné à convaincre son public, la série de Justin Roiland et Dan Harmon fait le choix de l'efficacité avec une première aventure au rythme effréné et un trip conceptuel explosif. Toujours en équilibre entre jusqu'au-boutisme formulatique hilarant et expérimentations narratives inédites, elle continue à passionner. C'est donc avec impatience qu'on attendait ce troisième épisode. Et s'il n'est pas aussi marquant que les précédents, il divertit sans mal. Attention mini-spoilers ! Des larmes... et de bonnes idées visuelles Earth, wind and fire La séquence introductive a pourtant de quoi faire lever les yeux au ciel. Le concept de pluie acide a beau être particulièrement adapté aux pérégrinations de Morty et de son grand-père alcoolique, il ne fait qu'annoncer un autre pastiche éclair de super-héros. Non seulement la série s'était déjà amusée à moquer les surhommes et femmes en costumes moulants, humiliés par un Rick pas remis de sa grosse cuite et un visionnage trop intensif de la saga Saw, mais un spin-off à leur propos a même déjà été annoncé. Sauf que le but est surtout d'accorder au jeune homme une autre idylle amoureuse foireuse et de parodier non pas les marvelleries quoique Summer qualifie Planetina de "Phase 4 Super-hero", mais les divertissements engagés niais pour enfants, en particulier Captain Planet and the Planeteers, dont l'épisode reproduit le principe quasi littéralement, de sa morale manichéenne à son casting revendiquant un universalisme à la United Color of Benetton. Le pauvre Morty s'éprend donc d'un décalque féminin du capitaine doublé par Alison Brie, malheureusement exploité par des gosses qui ont bien grandi. PS I love you Comme toujours, Rick et Morty se donne pour mission de souiller le plus possible sa référence principale. Et la série animée produite par l'activiste Jane Fonda lui laisse un boulevard. Loin d'assumer un quelconque commentaire politique sur l'écologie ce n'est pas le style de la maison, elle se contente de surligner l'opportunisme mercantile des productions du genre, et leur absurdité, une fois en dehors de ce modèle marketing. La naïveté ambiante est donc savoureuse, surtout quand la bande originale joue le jeu. Les amateurs de Captain Planet se plairont à voir leur madeleine de Proust martyrisée, d'autant que cette parodie permet à la série de se laisser aller à quelques envolées esthétiques. Jusqu'ici, elle s'était accommodée de sa ligne claire, simple, mais efficace, et de sa mise en scène au service du gag. Quelques séquences s'autorisent à transgresser quelque peu cette identité, au détour d'un songe coloré ou d'un plan en plongée étrange. La preuve que ces 25 minutes ne sont en fait pas si schématiques. Voyage dans la lune In the mood for love En parallèle, Summer et Rick s'offrent une petite virée sexuelle sur des planètes au bord de la destruction. Leur odyssée de fluides et de cendres renoue avec le penchant de la production Adult Swim pour le trash la scène post-générique reste franchement osée. Et ce n'est pas pour déplaire à un public qui se délecte des rôts lubriques du vieux savant, des expériences libidineuses de sa petite-fille et des particularités anatomiques d'extraterrestres pervers. La partouze générale de la dernière planète vaut son pesant de cacahuètes, surtout lorsque Beth s'en extirpe pour annuler l'apocalypse. D'aucuns pourraient cependant regretter que les scénaristes s'en remettent une fois de plus au montage alterné pour développer en parallèle deux arcs narratifs à part entière. Un procédé certes largement utilisé par les séries d'animation dites "pour adulte", mais que ces cinq saisons ne tentent que très rarement de camoufler. Plonger dans l'orgie. Littéralement. Et pourtant, cet épisode joue très habilement de cette impression pour rehausser son humour. En effet, les péripéties des deux duos se complètent, ou plutôt se contredisent avec une ironie mordante. Alors que Morty s'emploie à sauver la Terre en courant après des lapins, bien plus guidé par ses hormones que par l'urgence climatique, Beth et Rick sont témoins de destructions de mondes... qu'ils ont le pouvoir d'arrêter ! Tandis que Morty cherche un grand amour illusoire, sa soeur et son grand-père s'enfoncent dans des parties fines incestueuses avec l'absence de lendemain comme horizon. Pour une fois, les extrêmes se rejoignent. Ces 25 minutes font donc rire grâce à leurs gags, mais aussi une bonne dose d'ironie dramatique diffuse. Quelle meilleure manière de s'amuser de la crise d'adolescence des deux personnages, chacun illustrant une facette de la puberté ? Désormais, les enjeux sentimentaux et sexuels semblent être très importants. La prise de confiance de Morty est réelle. Il est désormais largement capable de se défendre lui-même. Mais il lui reste à vaincre sa naïveté vis-à-vis de la gent féminine. Jusqu'ici, c'est le thème qui se dégage de cette saison. À moins que celle-ci ne parte dans un délire complètement différent dans la suite. La série nous y a habitués. Un nouvel épisode de la saison 5 de Rick et Morty chaque lundi sur Adult Swim via Molotov en France dès le 21 juin 2021. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large.
in the mood for love vostfr
RegarderRegarder In the Mood for Love Movie BD / BRRip en résolution DVDRip est plRegarder In the Mood for Love esthétique, peu importe, car l’encodage Accueil • Films • In the Mood for Love Hong Kong, 1962. M. et Mme Chow emménagent dans leur nouvel appartement le même jour que leurs voisins, M. et Mme Chan. Sans comprendre comment cela a commencé, Chow Mo-wan et Chan Li-zhen apprennent que leurs époux respectifs ont une liaison. Cette découverte les choque mais les rapproche. Ils se voient de plus en plus souvent mais le voisinage commence à s’en apercevoir. Il semble n’y avoir aucune possibilité pour eux de vivre une relation amoureuse. Mais la retenue, les réserves émotionnelles de Mme Chan hantent M. Chow, qui sent ses sentiments changer.
Infossur In the Mood for Love Réalisé par Wong Kar-Wai Chine, Hong kong - 1h38 - Drame Titre original : Fa yeung nin wa Sortie le 8 novembre 2000 Compétition officielle
花樣年華 Fa yeung nin waB. AnnonceRéalisé par Wong Kar Wai Hong Kong, 2000Romantique, Drame99SynopsisHong Kong, 1962. M. et Mme Chow emménagent dans leur nouvel appartement le même jour que leurs voisins, M. et Mme Chan. Chow Mowan et Chan Lizhen apprennent que leurs époux respectifs ont une liaison. Cette découverte les choque mais les
Tonnom en plein cœur est un film réalisé par Kuang-Hui Liu avec Edward Chen, Chin-Hua Tseng. Synopsis : En 1987, après la fin de la loi martiale à Taïwan, Jia-han et Birdy tombent amoureux
Films - Drames sentimentaux - ArteLundi 29 Août à 23h50Films - Drames sentimentauxHongkong. Trompés par leurs conjoints respectifs, un homme et une femme esquissent une liaison que leurs scrupules rendent très vite Trompés par leurs conjoints respectifs, un homme et une femme esquissent une liaison que leurs scrupules rendent très vite Molotov pour regarder la TV gratuitement.
INTHE MOOD FOR LOVE . De Wong Kar-Wai / 1h38 / Couleurs / VOSTFR Hong-Kong - Chine / 2000. Synopsis : Hong Kong, 1962. Mme Chan loue une chambre chez Mme Suen. Le même jour et sur le même palier, s’ins- talle M. Chow. Leurs conjoints sont souvent absents. Un jour, M. Chow et Mme Chan découvrent que leurs époux sont amants.
In the Mood for Love Set in Hong Kong, 1962, Chow Mo-Wan is a newspaper editor who moves into a new building with his wife. At the same time, Su Li-zhen, a beautiful secretary and her executive husband also move in to the crowded building. With their spouses often away, Chow and Li-zhen spend most of their time together as friends. They have everything in common from noodle shops to martial arts. Soon, they are shocked to discover that their spouses are having an affair. Hurt and angry, they find comfort in their growing friendship even as they resolve not to be like their unfaithful mates. Cast Tony Chiu-Wai Leung, Maggie Cheung, Siu Ping-Lam Subtitles for hearing impaired
moviedatabase. Mood for Love seerumid in 1080p, 480p, 720p, Blueray, BRRIP, CAM, DVDrip, DVDSCR, Hdrip, HDTS, HDTV or WebRip. In the Mood for Love streaming FR or VOST Once your movie is chosen, here In the Mood for Love, you'll have to choose the right language of viewing. Choose In the Mood for Love streaming VF valada the Une esthétique harmonieuse entre “The Hours” et “In the mood for love » Etats-Unis, 1962. George, professeur de lettres à l’université, est un homme brillant, cultivé et homosexuel. Son compagnon, décédé quelques mois plus tôt, George ne sent plus la force de continuer son existence. Un beau matin, décidant d’y mettre un terme, il quitte son foyer pour l’université avec un revolver dans sa sacoche… Tom Ford, grand couturier reconnu il a notamment rendu ses lettres de noblesse à la marque Gucci, passe derrière la caméra et met de côté le style porno chic de l’ensemble des publicités qu’il a imposé dans l’univers de la mode. Avec A single man », on est très loin du tape-à-l’oeil et de l’agressif. Au contraire, Tom Ford colle au style de l’époque à laquelle se déroule l’histoire. Ainsi, il nous offre un film délicat, à l’esthétique glamour et millimétrée de la way of life des années 60. Costume parfait et chaussures cirées pour George-Colin Firth, brushing gonflé et robe raffinée pour Charley-Julianne Moore tout est là, y compris les magnifiques décors de Dan Bishop. Baignant dans cette atmosphère surfaite, George se sent étouffer depuis que son compagnon Jim est décédé dans un accident de la route. L’histoire débute ainsi par cette terrible scène où George apprend par téléphone que son ami est mort et qu’il n’est pas convié aux obsèques. Très froidement, il acquiesce à tout ce qu’on lui dit, alors qu’il vient d’apprendre la plus tragique des nouvelles. C’est une fois le téléphone raccroché que l’homme s’effondre désespéré. Huit mois plus tard, George a une mine de déterré, il n’arrive pas à relever la tête hors de l’eau. Il le cauchemarde d’ailleurs fréquemment, se voyant se noyer dans un océan sombre et profond. George n’en peut plus et, un matin, il décide que cette journée sera sa dernière. Au programme café et brioche congelée, cour à l’université, passage chez l’armurier, repas avec sa meilleure amie Charley puis suicide sur l’oreiller. Pour cette chronique d’une mort annoncée, Tom Ford réalise un film beau, élégant, sensible et esthétisant avec un supplément d’âme. Il suit avec sa caméra un homme à contre-courant d’une foule, comme pour marquer sa différence. Il ajoute la musique de Shigeru Umebayashi sur des plans ralentis qui renvoient directement aux films de Wong-Kar Waï sur lesquels il avait auparavant travaillé In the mood for love » ou 2046 ». Il offre à Colin Firth un rôle extraordinaire, très complexe, d’un homme qui semble facilement tisser des liens avec son entourage amis, voisins, élèves, mais aussi inconnus et à qui il se confie paradoxalement très peu, gardant une énorme part de mystère, en étant très intérieur et tout en retenue. Il fait un pont avec The hours », le film de Stephen Daldry, en donnant le rôle de Charley à Julianne Moore qui y tenait déjà un rôle fort, éprouvant. Celui d’une femme confrontée à son homosexualité et qui voulait en finir avec la vie. Un élément, plus particulièrement, rapproche les deux œuvres l’eau ; celle qui submerge Julianne dans The hours » et Colin Firth dans A sigle man ». L’eau, le poids de la société qui vous bloque et vous empêche d’avancer, vous prive d’avenir. Le comédien anglais est tout simplement magnifique dans ce rôle et n’a pas volé ses prix d’interprétation au Festival de Venise 2009 et aux Bafta 2010. Son chic anglais est poussé à l’extrême, de ses tenues à son accent appuyé. Julianne Moore est comme d’habitude exceptionnelle, même dans un rôle secondaire qu’elle sait comme personne mettre en valeur. Pourtant, le film n’est pas parfait. La faute peut-être au scénario qui reste malheureusement trop en surface de ce qu’il évoque ou dénonce. A single » a beau être un harmonieux mélange de The hours » et de In the mood for love », il aurait mérité d’être aussi dense et aussi fort que ces films, et de les rejoindre dans le cercle fermé des chefs d’œuvre cousus de fil d’or. Envoyer un message au rédacteur BANDE ANNONCE Bande annonce par . 142 372 176 275 275 300 476 25

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